Payer moins d’impôt
Une fiscalité pesante
La fiscalité de plus en plus lourde pousse à rechercher des solutions juridiques et fiscales pour réduire ses impôts.
65% des investisseurs évoquent comme raison principale la volonté de réduire leur impôts.
Source : enquête CFF 2017
Avoir recours aux dispositifs fiscaux de l’immobilier neuf permet de réduire de façon probante l’imposition, tout en contribuant à l’économie nationale.
Halte aux idées reçues !
Les dispositifs permettant de réduire ses impôts ne sont pas réservés aux contribuables les plus aisés.
Réduire ses impôts, en toute légalité, est accessible à tous les contribuables imposables.
Une étude personnalisée et approfondie permet de trouver la solution correspondant aux besoins de chacun.
La solution : défiscaliser
- L’investissement locatif reste aujourd’hui le placement privilégié des français pour sa performance.
- Les mesures mises en place par le gouvernement permettent aux investisseurs de financer leur bien en partie grâce aux réductions d’impôts.
- Le montant et la composition de l’imposition déterminent la fiscalité qui sera la plus avantageuse.
Dispositifs | Réduction d’impôt potentielle |
LMNP Censi-Bouvard | 11% du prix de revient plafonné à 300 000€ d’investissement (3667€ plafonné à 300 000€ d’investissement par an) |
Pinel | 21% du prix de revient plafonné à 300 000€ d’investissement (6000€ par an pendant 9 ans puis, 3000€ par an pendant 3 ans) |
Nue-Propriété | Economie d’impôts sur les revenus fonciers (TMI et CSG CRD) et possibilité de réduction ISI |
Malraux | 22 à 30% du montant des travaux dans la limite de 400 000€ annuels soit une réduction maximale de 120 000 € par an (si l’immeuble est situé en secteur sauvegardé) |
Déficit foncier | Déduction du montant des travaux réalisés sur l’ensemble des revenus fonciers positifs, puis imputation d’un déficit foncier de 10 700€ maximum sur le revenu global* |
Monuments historiques | Déduction de ses revenus et sans limite de l’intégralité des déficits fonciers** |
* Compte tenu du CIMR (Crédit d’Impôt « Modernisation du Recouvrement ») en 2018, les déficits comptabilisés sur les années 2018 et 2019 seront pris pour moitié dans le calcul de l’impact fiscal.
** À noter que pour l’année 2018, compte tenu du CIMR (Crédit d’Impôt « Modernisation du Recouvrement »), seuls les revenus exceptionnels (de type plus-values imposables à l’IR, primes exceptionnelles …) pourront donner lieu à un impact fiscal sur l’année.